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Ce jour 23 avril 2018 c'est tenue dans la salle de conférence de la FENASCOM un séance de travail entre l'équité de CRS et le staff de la plateforme autour de l'extension du projet GAVI/CSO

La séance de travail a fait la revue du budget de l'avenant, les activités retenues et le calendrier d'une part et d'autre part faire le joint de l'évaluation institutionnel constatée en juillet 2018

L'avenant concerne le mois d'avril à septembre 2018, et il est la bienvenue pour consolider les acquis obtenus lors de la dernière phase.

Chers lecteurs, j’ai l’honneur de vous informer que suite aux résultats probants de la première phase du projet de renforcement des capacités de la société civile en vaccins et vaccination, réalisés par la plateforme FENASCOM sur financement de l’Alliance GAVI , via Catholic Relief Service (CRS), notre plateforme la plateforme est retenue pour une 2ème phase lui permettant de finaliser les actions essentielles entreprises mais non finalisées et aussi renforcer d’avantage la mobilisation des populations autour des vaccins et la vaccination. Cette deuxième phase va s’étaler sur deux années ; à savoir 2016 et 2017. Il est prévu dans les actions planifiées l’édition de deux bulletins annuels permettant de partager toutes les informations sur le projet avec nos membres, nos partenaires, voire tout l’environnement externe à la plateforme.

                En effet, périodiquement, nous allons vous livrer ce qui  a pu être fait avec le concours de tous ; ainsi que certains enseignements tirés, qu’ils s’agissent des leçons apprises sur le terrain ou les apprentissages consécutifs à l’appui de CRS dans la mise en œuvre du projet et aussi les actions de mobilisation de terrain réalisées par les ASACO/CSCOM et celles des  mutuelles de santé et leurs centres de santé.

                En outre, nous partagerons avec nos lecteurs, certaines synthèses et les prochaines étapes du projet.

Il est à rappeler que CRS (Catholic Relief Services) est l’agence de gestion des fonds du projet GAVI/OSC. Il est implanté au Mali depuis 1999, et a entamé ses interventions dans les domaines de la sécurité alimentaire et les urgences, puis dans celui de la santé dans le cadre de la gestion des ressources du Fonds Mondial /tubercule et le renforcement des capacités des Organisations de la société civile pour les vaccins et la vaccination à travers le présent projet.

                A travers cette parution, nous osons espérer contribuer au renforcement de la mobilisation autour des vaccins et de la vaccination au Mali conformément au programme élargi de vaccination (PEV). Ainsi, nous avons le plaisir de partager avec vous certaines réalisations effectuées dans le cadre de la mise en œuvre de cette deuxième phase du projet, d’Avril 2016, date de démarrage effectif à janvier 2017. 

 Qu’il me soit permis d’avance de vous remercier pour les commentaires ou suggestions constructifs que nous recherchons dans ce processus d’information et surtout de «donner-recevoir». Nous estimons que c’est par cette approche constructive que la plateforme FENASCOM  contribuera efficacement aux efforts des autorités sanitaires maliennes en matière de vaccins et vaccination, conformément aux attentes  de GAVI et de CRS, pour l’atteinte des objectifs communs de développement sanitaire harmonieux. En effet, c’est par l’implication réelle et efficace, dans le temps et dans l’espace, des différents acteurs dont la société civile,  que sera atteint le succès escompté, à savoir la couverture totale et exclusive de tous les citoyens en vaccins et vaccination.

                Le dialogue politique auquel la société civile doit participer ou susciter passe aussi par les échanges d’informations, et donc d’idées pertinentes voire novatrices pour faire avancer substantiellement la mise en œuvre de politiques, stratégies, plans et programmes de développement socio-sanitaire du Mali.

Dans cet ordre d’idée, nous osons espérer un accompagnement  accru des services déconcentrés du Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique (MSHP), des  membres et démembrements de la plateforme FENASCOM en particulier, et des autres acteurs clés de la société civile impliqués dans la mise en œuvre du Plan Décennal de Développement Sanitaire et Social (PDDSS), 2014-2023 et de sa première phase quinquennale  de mise en œuvre (PRODESS III), 2014-2018.

                Je rappelle que notre public cible demeure: le MSHP et ses services déconcentrés, les membres et démembrements de la plateforme FENASCOMM, les ONG évoluant en santé et développement social, les chercheurs, les Partenaires techniques et financiers intervenant dans le PRODESS, et plus spécifiquement, les partenaires stratégiques intervenant en vaccins et vaccination ; à savoir : l’Alliance GAVI, assurant le financement du projet et CRS, agence d’exécution financière, assurant aussi l’appui technique pour la mise en œuvre du projet. Chers lecteurs, ce bulletin est le vôtre, prenez connaissance du contenu et le partager avec tous vos proches pour une large diffusion. Mes  remerciements et félicitations s’adressent à l’ANTIM pour son appui technique de qualité dans la réalisation des missions de conception, élaboration, suivi de la cartographie numérique dynamique en pleine opérationnalisation dans les régions du sud du Mali, la conception d’un site web pour la plateforme FENASCOM et autres actions de terrain, en relation avec l’équipe de Coordination du Projet de la plateforme FENASCOM.

 Que Madame le Ministre de la santé et de l’hygiène publique trouve ici mes sincères remerciements, mes mots de remerciements sont également adressés à toutes ses équipes à tous les niveaux de la pyramide sanitaire: central, régional et local, pour leur disponibilité et leur  intérêt manifesté en tout temps et en toute circonstance. Mes remerciements s’adressent aussi aux membres et démembrements de la plateforme FENASCOM (ASACO et leurs CSCOM, Mutuelles et leurs centres de santé,  FERASCOM  et FELASCOM), ainsi qu’aux représentants des Coordinations Régionales des ONG, qui n’ont ménagé aucun effort pour la réussite des activités réalisées au niveau des régions,  des districts sanitaires et des aires de santé.

L

es membres de la plateforme du projet de renforcement des capacités de la société civile pour les vaccins et la vaccination au Mali phase II 2016-2017 dont le démarrage initialement programmé pour le semestre allant de juillet à décembre 2016 a effectivement pris son envole du 1er octobre 2016 avec le quitus de la rencontre de Bamako, le 11 novembre 2016.

Les objectifs de la plateforme des OSC formulés et budgétisés se présentent en trois volets (améliorer la fonctionnalité, améliorer la durabilité financière et améliorer la capacité de contribuer à la coordination et la planification du secteur de santé nationale).

L’objectif 1 : La plateforme des OSC se sont améliorées leur fonctionnalité est décliné en 7 activités qui sont : la tenue d’une réunion trimestrielle des membres de la plateforme ; l’organisation d’un voyage de deux personnes responsables de la plateforme, à visiter une plateforme fonctionnelle (externe) ; le développement et la mise en œuvre d’un plan de renforcement de la capacité organisationnelle de la plateforme. Cet objectif a pris en compte l’ organisation de deux séances d’évaluation de la capacité organisationnelle de la plateforme (1re et 4ème trimestres ; la participation à l’enquête annuelle du GVAP (Plan d’action mondiale pour la vaccination) ; l’appui financièrement les actions de sensibilisation et de mobilisation communautaire de cinquante (50) ASACO membres de la plateforme au niveau communautaire et le  développement d’ un système de suivi -évaluation pour le projet et/ou la plateforme en recrutant un agent de suivi/évaluation.  La réalisation des actions recommandées par l’évaluation HOCAI, conduite par CRS courant 2015 (formation de 3 agents du service financier en outil de gestion ‘’TOMPRO’’, recrutement d’un agent de communication à temps partiel et d’un comptable matière à plein temps) et enfin la Tenue de deux réunions annuelles de planification ont été aussi retenues.

L’objectif 2 : intitulé l’amélioration de la durabilité financière a fixé comment activités l’organisation d’un atelier national de développement et validation d’un plan de mobilisation des ressources (doter la plateforme et ses membres de supports de mobilisation des ressources). Nous notons aussi l’organisation d’un atelier national de formation en mobilisation des ressources (un atelier national de formation des formateurs régionaux et un atelier régional de formation des formateurs locaux) ; la réalisation deux (2) bulletins d’informations sur les vaccins, la vaccination et le RSS ; soit un bulletin par semestre et l’enregistrement des OSC avec la circonscription Gavi.

Enfin l’Objectif 3 : qui est d’améliorer la capacité de contribuer à la coordination et la planification du secteur de santé nationale vise six activités.

Ce sont : assurer le suivi de la mise en œuvre des résultats de la cartographie en vaccins et vaccination, superviser les points focaux régionaux dans leurs actions de collecte, d’analyse et de remontée des données sur la vaccination (collecte des données de la vaccination). Évaluer le contexte national de l’immunisation dans le pays (état des lieux), élaborer un plan de correction des contraintes constatées et des risques au système de santé (recrutement d’une consultation) et organiser un atelier national de formation des formateurs régionaux et locaux en gestion des vaccins (formation en cascade). Sont maintenues la documentation et publication des leçons apprises et aussi des meilleures pratiques, des  innovations, et des études de cas par rapport au RSS et à l’immunisation,  les résultats seront publiés dans le bulletin d’information en priorité et enfin l’Amélioration de la participation des OSC dans les organes de gestion du PRODESS.

 A l’issu de la rencontre les membres ont donné leur quitus par des observations suivantes :

Analyse de l’impact du démarrage du financement de la phase II ; le peu de participation de la communauté bénéficiaire de la vaccination ; la faible coordination entre les acteurs (services techniques des aires de santé, le DTC et l’ASACO entre autres ; l’inquiétude d’atteindre les 100% des couches concernées par la vaccination ; l’accompagnement de l’OAFRES aux côtés de CRS ; l’actualisation du plan de travail. La mise de fonds aux démembrements.

Ils ont aussi insisté sur la mise à jour du plan de travail et le rendre disponible ; la mise à disposition des fonds pour les activités des démembrements ; une meilleure coordination entre les acteurs de l’immunisation dans les aires et districts de santé ; la prise en compte les propositions d’améliorations faites pour finaliser le rapport et assurer une bonne conduite de communication en destination des couches concernées pour un changement de comportement en faveur de l’immunisation.

 La Rédaction

Le lancement de la Coalition Nationale de Plaidoyer pour les Soins Essentiels dans la Communauté s’est tenu jeudi 6 juillet 2017 à l’hôtel Radisson BLU de Bamako .

La cérémonie a été présidée par les mots de bienvenu du maire de la commune 4 suivi de l’allocution du président de la SNSEC Monsieur Yaya Zan Konaré , qui souhaite pouvoir compter sur l’appui financier et technique de tous ; notamment les Pouvoirs publics, les PTFs, la Société civile et enfin les parents d’enfants pour générer et soutenir le financement des Soins Essentiels dans la Communauté.

Après son intervention ; ce fut les discours du Représentant du chef de file des Partenaires techniques et financiers (PTF) et du représentant de la fondation   AG Kan. Après leurs allocution , deux Présentations ont fait l’objet d’appréciation et de prise de conscience. La première était sur l’Etat de mise en œuvre et défis des SEC présenté par   Monsieur Hamidou Diarra , Secrétaire Général de la FELASCOM . Il affirme que les 42 % sur 100 de la population n’ont pas accès aux Soins Essentiels de Santé dû à de nombreuses raisons , d’où la nécessité d’allouer un fonds aux SEC .La deuxième Présentation portait sur la Coalition. Elle a été partagée avec le public par Boubacar Traoré AMM .

Ces deux magnifiques présentations ont éclairé la population sur les difficultés aux quelles certaines personnes sont confrontées par manque de moyens et les invités se sont sentis concernés par la lutte que mène la Coalition.

Courant la cérémonie, les intervenants ont touché les défis lancés par la CNSEC et lance un cri de mobilisation, d’appel, afin de venir en aide aux plus démunis. Ils ont aussi demandé une augmentation de salaire des ASC et exhorté le Ministre de trouver une solution aux requêtes de la CNSEC.

Le représentant du Ministre de la santé et de l’hygiène publique Dr SALIF SANOGO conscient des objectifs de la Coalition que sont : Renforcement l’échange, l’apprentissage et la coordination entre les membres et partenaires par rapport aux SEC ; l’œuvre pour la fonctionnalité des cadres de coordination et des structures de mise en œuvre des SEC au niveau local, régional et national ; faire le plaidoyer pour une augmentation des budgets alloués par l’Etat aux SEC ; œuvrer pour le renforcement des formations sur les SEC des écoles de Santé et des Agents de Santé Communautaire ; mobiliser ses membres et partenaires pour le plaidoyer en vue de l’intégration des ASC dans la fonction des Collectivités Territoriales , a lancé la SNSEC et avec elle pour couvrir tout le territoire du Mali en soins .

C’est pourquoi il a promis d’être la pour la Coalition. Juste après ces mots pleins d’espoir et sous   la belle mélodie de L’Ensemble Instrumentale, il lancée La Coalition Nationale des Soins Essentiels dans la Communauté. A cet instant ,   la photo de famille fut prise et les organisateurs offrirent un cocktail aux invités ; ce fut la fin de la cérémonie.

 

 

Le lancement de la Coalition Nationale de Plaidoyer pour les Soins Essentiels dans la Communauté s’est tenu jeudi 6 juillet 2017 à l’hôtel Radisson BLU de Bamako .

La cérémonie a été présidée par les mots de bienvenu du maire de la commune 4 suivi de l’allocution du président de la SNSEC Monsieur Yaya Zan Konaré , qui souhaite pouvoir compter sur l’appui financier et technique de tous ; notamment les Pouvoirs publics, les PTFs, la Société civile et enfin les parents d’enfants pour générer et soutenir le financement des Soins Essentiels dans la Communauté.

Après son intervention ; ce fut les discours du Représentant du chef de file des Partenaires techniques et financiers (PTF) et du représentant de la fondation   AG Kan. Après leurs allocution , deux Présentations ont fait l’objet d’appréciation et de prise de conscience. La première était sur l’Etat de mise en œuvre et défis des SEC présenté par   Monsieur Hamidou Diarra , Secrétaire Général de la FELASCOM . Il affirme que les 42 % sur 100 de la population n’ont pas accès aux Soins Essentiels de Santé dû à de nombreuses raisons , d’où la nécessité d’allouer un fonds aux SEC .La deuxième Présentation portait sur la Coalition. Elle a été partagée avec le public par Boubacar Traoré AMM .

Ces deux magnifiques présentations ont éclairé la population sur les difficultés aux quelles certaines personnes sont confrontées par manque de moyens et les invités se sont sentis concernés par la lutte que mène la Coalition.

Courant la cérémonie, les intervenants ont touché les défis lancés par la CNSEC et lance un cri de mobilisation, d’appel, afin de venir en aide aux plus démunis. Ils ont aussi demandé une augmentation de salaire des ASC et exhorté le Ministre de trouver une solution aux requêtes de la CNSEC.

 Le représentant du Ministre de la santé et de l’hygiène publique Dr SALIF SANOGO conscient des objectifs de la Coalition que sont : Renforcement l’échange, l’apprentissage et la coordination entre les membres et partenaires par rapport aux SEC ; l’œuvre pour la fonctionnalité des cadres de coordination et des structures de mise en œuvre des SEC au niveau local, régional et national ; faire le plaidoyer pour une augmentation des budgets alloués par l’Etat aux SEC ; œuvrer pour le renforcement des formations sur les SEC des écoles de Santé et des Agents de Santé Communautaire ; mobiliser ses membres et partenaires pour le plaidoyer en vue de l’intégration des ASC dans la fonction des Collectivités Territoriales , a lancé la SNSEC et avec elle pour couvrir tout le territoire du Mali en soins .

C’est pourquoi il a promis d’être la pour la Coalition. Juste après ces mots pleins d’espoir et sous   la belle mélodie de L’Ensemble Instrumentale, il lancée La Coalition Nationale des Soins Essentiels dans la Communauté. A cet instant ,   la photo de famille fut prise et les organisateurs offrirent un cocktail aux invités ; ce fut la fin de la cérémonie.

 

L’atelier pour l’élaboration des documents de politique et de plan stratégique national de développement des ressources humaines s’est tenu les 10 et 11 aout   dans la salle de conférence de la Maison des Ainés de Bamako .

La cérémonie d’ouverture a été marquée par le représentant du Directeur de la DRH Monsieur Benois, qui après avoir situé l’atelier dans son contexte fit intervenir l’ex secrétaire Général du Ministère de la Santé. Monsieur Salif Traoré n’a pas manqué dans son allocution d’exprimer son engagement en ce qui concerne l’accompagnement du processus malgré le changement de rang et est   prêt à   rester à la disposition du groupe thématique pour tout besoin qui relèverait de ses compétences. Il promis aussi d’être attentif et actif pour toutes activités relative à la DRH.

 

Quand au but de l’atelier , il visait à rendre disponibles les documents de politique et de Plan Stratégique National de Développement des Ressources humaines du secteur pour la période 2018-2020 ; passer en revue les principales recommandations et orientations stratégiques du rapport d’évaluation de la Politique Nationale de Développement des Ressources humaines de la Santé et du Plan Stratégique national de Développement des Ressources Humaines de la Santé ; définir avec les différentes parties prenantes aux différents niveaux , les propositions de nouvelles orientations stratégiques et les effets et résultats attendus affèrent au nouveau Plan ; faire la révision du document de politique national de développement des Ressources Humaines , analyser la situation et la gestion des ressources humaines à tous les niveaux ; proposer un mécanisme de coordination , de suivi-évaluation et de mobilisation de ressources financières efficaces et réalistes pour la mise en œuvre du nouveau Plan.

 

Après un rappel de l’ancien plan, les travaux de la journée ont fait l’objet de trois présentations dont la première a été orientée sur la les processus d’élaboration des documents de la politique et du plan stratégique de développement des DRH.

La deuxième présentation porta sur le chronogramme d’élaboration des documents de la politique et du plan stratégique de développement des DRH .

Quant à la troisième présentation , elle s’articulait autour des TDR pour l’élaboration de la politique et des nouveaux plans stratégiques de développement .

La quatrième a porté sur  les résultats de la consultation francophone sur les comptes nationaux des personnels de santé (CNPS), la présentation de la feuille de route suivi de la présentation des résultats du recensement du personnel de santé du secteur privé dans le district de Bamako.

Suite aux différentes présentations, des questions d’éclaircissement, de compréhension et de contribution ont touché les éléments suivants :

La confusion des termes de référence ; l’appréciation de tous les partenaires sur le processus ;

l’importance des comptes nationaux pour la prise de décisions ;la définition du rattachement de l’observatoire au Mali ; la problématique des ressources pour les activités de 2017-08-15(5000000 disponible pour l’ensemble du processus ) ; l’appui de l’OMS ; la non figuration des ressources humaines ; l’évolution du marché du travail ; l’inefficacité du groupe thématique ; la prise en compte du secteur privé et communautaire ; l’implication des régionaux ; e remplacement du groupe technique par l’observatoire et la date d’exécution des activités.

A tous ces points soulevés des réponses satisfaisantes ont été données. Et des recommandations ont été formulées il s’agit d’assurer la relève (retraités) ; réduire le nombre des membres du groupe thématique pour obtenir un meilleur résultat ;   partager le rapport de l’évaluation avec les régionaux ; montrer comment évolue le marché du travail ; faire circuler des questionnaires pour prendre en compte les recommandations   a fin d’améliorer le système de travail des groupes techniques.

.Faire figurer l’observatoire des ressources humaines dans les points forts et faibles du processus ; créer l’observatoire au Mali ; inviter la FENASCOM et les secteurs privés à participer pleinement à la promotion de la santé ; rendre disponible trois termes de référence pour les groupes techniques, DRH et les experts ; mener l’étude au Mali pour renforcer les comptes nationaux ; donner des informations claires des ressources humaines en santé (souhait de l’OMS) Tenir compte de la motivation ; ne pas remplacer les groupes thématiques par l’observatoire ;insister sur la représentation de certains acteurs ; inviter l’ordre aux activités de la DRH  spécifier le rôle du consultant et des DRH ; revoir la méthodologie ; allouer des budgets pour le secteur privé ; impliquer la DNS dans ce processus et enfin voir la gestion des structures privées par le ministère.

 La cérémonie de clôture a été marquée par les mots de remerciement du représentant du Directeur de la drh ; qui s’est réjoui de l’engagement des participants pour l’atteinte des résultats.

 

 

L’atelier pour l’élaboration des documents de politique et de plan stratégique national de développement des ressources humaines s’est tenu les 10 et 11 aout   dans la salle de conférence de la Maison des Ainés de Bamako .

La cérémonie d’ouverture a été marquée par le représentant du Directeur de la DRH Monsieur Benois, qui après avoir situé l’atelier dans son contexte fit intervenir l’ex secrétaire Général du Ministère de la Santé. Monsieur Salif Traoré n’a pas manqué dans son allocution d’exprimer son engagement en ce qui concerne l’accompagnement du processus malgré le changement de rang et est   prêt à   rester à la disposition du groupe thématique pour tout besoin qui relèverait de ses compétences. Il promis aussi d’être attentif et actif pour toutes activités relative à la DRH.

Quand au but de l’atelier , il visait à rendre disponibles les documents de politique et de Plan Stratégique National de Développement des Ressources humaines du secteur pour la période 2018-2020 ; passer en revue les principales recommandations et orientations stratégiques du rapport d’évaluation de la Politique Nationale de Développement des Ressources humaines de la Santé et du Plan Stratégique national de Développement des Ressources Humaines de la Santé ; définir avec les différentes parties prenantes aux différents niveaux , les propositions de nouvelles orientations stratégiques et les effets et résultats attendus affèrent au nouveau Plan ; faire la révision du document de politique national de développement des Ressources Humaines , analyser la situation et la gestion des ressources humaines à tous les niveaux ; proposer un mécanisme de coordination , de suivi-évaluation et de mobilisation de ressources financières efficaces et réalistes pour la mise en œuvre du nouveau Plan.

Après un rappel de l’ancien plan, les travaux de la journée ont fait l’objet de trois présentations dont la première a été orientée sur la les processus d’élaboration des documents de la politique et du plan stratégique de développement des DRH. La deuxième présentation porta sur le chronogramme d’élaboration des documents de la politique et du plan stratégique de développement des DRH .

Quant à la troisième présentation , elle s’articulait autour des TDR pour l’élaboration de la politique et des nouveaux plans stratégiques de développement .

La quatrième a porté sur  les résultats de la consultation francophone sur les comptes nationaux des personnels de santé (CNPS), la présentation de la feuille de route suivi de la présentation des résultats du recensement du personnel de santé du secteur privé dans le district de Bamako. Suite aux différentes présentations, des questions d’éclaircissement, de compréhension et de contribution ont touché les éléments suivants :

La confusion des termes de référence ; l’appréciation de tous les partenaires sur le processus ;

l’importance des comptes nationaux pour la prise de décisions ;la définition du rattachement de l’observatoire au Mali ; la problématique des ressources pour les activités de 2017-08-15(5000000 disponible pour l’ensemble du processus ) ; l’appui de l’OMS ; la non figuration des ressources humaines ; l’évolution du marché du travail ; l’inefficacité du groupe thématique ; la prise en compte du secteur privé et communautaire ; l’implication des régionaux ; e remplacement du groupe technique par l’observatoire et la date d’exécution des activités.

A tous ces points soulevés des réponses satisfaisantes ont été données. Et des recommandations ont été formulées il s’agit d’assurer la relève (retraités) ; réduire le nombre des membres du groupe thématique pour obtenir un meilleur résultat ;   partager le rapport de l’évaluation avec les régionaux ; montrer comment évolue le marché du travail ; faire circuler des questionnaires pour prendre en compte les recommandations   a fin d’améliorer le système de travail des groupes techniques.

Faire figurer l’observatoire des ressources humaines dans les points forts et faibles du processus ; créer l’observatoire au Mali ; inviter la FENASCOM et les secteurs privés à participer pleinement à la promotion de la santé ; rendre disponible trois termes de référence pour les groupes techniques, DRH et les experts ; mener l’étude au Mali pour renforcer les comptes nationaux ; donner des informations claires des ressources humaines en santé (souhait de l’OMS) Tenir compte de la motivation ; ne pas remplacer les groupes thématiques par l’observatoire ;insister sur la représentation de certains acteurs ; inviter l’ordre aux activités de la DRH 

 

samedi, 26 août 2017 11:02

Présentation

Écrit par

La Fédération nationale des associations de santé communautaire (FENASCOM) est une fédération faîtière des Associations de santé communautaire (ASACO) créée en 1994. La FENASCOM contribue au développement d’un système de santé et de service social accessible aux populations. Elle intervient sur tout le territoire malien, dans 8 régions et dans le district de Bamako. Elle comprend 1070 aires de santé, dont 954 avec une ASACO.

Les objectifs de la FENASCOM sont de respecter et défendre les intérêts des ASACO, de constituer un cadre d’orientation, de concertation, d’intégration et de coordination des activités des ASACO, tout en respectant l’autonomie de celles-ci, et de contribuer au développement et à l’expansion du mouvement de santé communautaire.

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